Capleton et Mediacom ont obtenu gain de cause dans le procès qui les oppose à la Ville de Reims et à la REMCA (à qui la municipalité confie la gestion de la Cartonnerie) à propos de l'annulation du concert du deejay du 18 juin. Le Tribunal de Grande Instance de Reims a condamné hier (mardi 19 juillet) la municipalité à verser 8 000 euros de dommages et intérêts à la société Mediacom, tourneur européen de Capleton, pour rupture abusive de contrat. Mediacom réclamait 40 000 euros.
Joint par téléphone, son directeur Michel Jovanovic nous a confié qu'il étudiait les possibilités de poursuivre ces démarches judiciaires dans les autres villes ayant annulé les concerts de Capleton.